Afrique

Étude des programmes du 1er cycle du Secondaire en Langue, en Mathématiques et en Sciences des pays d’Afrique subsaharienne

Résumé exécutif

L’évaluation de l’apprentissage permet de mesurer la qualité des systèmes éducatifs et les données qui en résultent constituent une base sur laquelle peuvent s’appuyer l’élaboration de politiques visant l’amélioration de la qualité des systèmes éducatifs. Malheureusement, les systèmes d’évaluation de nombreux pays d’Afrique subsaharienne, soit ignorent les évaluations à grande échelle, soit ne leur laissent qu’une place marginale et même s’ils en prennent connaissance, ne les exploitent pas à bon escient. Cette insuffisance quantitative et qualitative des évaluations à grande échelle est dommageable, car elles ont pour finalité non pas de se focaliser sur les résultats individuels comme les examens et les devoirs de classe, mais de donner une image globale des acquis scolaires et d’expliquer les résultats obtenus, hormis le fait qu’elles peuvent constituer un moyen de régulation du curriculum. En ce sens, elles fournissent une mesure plus juste de l’équité et la qualité d’un système éducatif. En outre, les évaluations à grande échelle organisées dans ces pays ne concernent généralement que l’enseignement primaire. Le cycle secondaire n’est que très rarement pris en compte. Ce contexte suscite la nécessité d’intégrer le 1er cycle du secondaire dans les évaluations à grande échelle, notamment dans le PASEC qui couvre un large spectre de pays d’Afrique subsaharienne francophone.

Découvrez l’intégralité de l’étude en flashant le QR code ci-dessus ou en cliquant ici.

Le Centre KIX Afrique 21 est soutenu par le Partenariat mondial pour l’échange de connaissances et d’innovations en éducation (GPE KIX), une initiative conjointe avec le Centre de recherches pour le développement international (CRDI), Canada. Il est piloté par trois organisations réunies en consortium : l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF), la Conférence des ministres de l’Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) et l’Institut de la Francophonie pour l’éducation et la formation (IFEF-OIF) en qualité de chef de file.